Catégorie à part : « la (jolie) fille », qui bien entendu ne peut pas partager les caractéristiques des autres élèves, d’une part, mais qui en plus a besoin de l’aide des hommes. On est en plein essentialisme : la fille est réduite à son genre et à son apparence physique, dont on déduirait ses compétences et son autonomie.
Bien entendu, les commentaires vont dans le même sens :
Comme souvent, ces discours sont performatifs : à force de dire que les femmes sont absentes des écoles de programmation, on les en fait disparaitre.
Edité par Mar_Lard
]]>« Le test le plus difficile à passer » : créer une appli que même ces bécasses de « ménagères » puissent comprendre…C’est bien connu que les femmes n’utilisent aucune appli Internet…Et c’est quand même plus simple de faire porter la responsabilité de ses échecs à l’utilisateur en recourant à des clichés sexistes éculés, plutôt que de s’appliquer à concevoir une interface ergonomique…
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